Ma première rencontre avec Westlake, ses phrases définitives, désabusées et hilarantes, ("Boy ressemblait de plus en plus à quelque chose que l'on aurait dû enterrer une semaine plus tôt"), sa description outrée mais qui vise juste des médias (le patron de presse tyrannique qui installe son bureau dans un ascenseur pour mieux surveiller ses employés, la description drôlissime des journalistes venus des quatre coins des USA pour couvrir le mariage d'une célébrité et se saoulent au bar à peine arrivés, qui est, franchement, à peine exagéré...) et du show-biz... on en oublierait presque que c'est un polar, ce que Westlake se charge de nous rappeler dans les quinze dernières pages, un peu expédiées, voire bâclées, mais qu'importe... le plaisir est au rendez-vous !
Donald Westlake at the top of his form is a mighty sight to behold. This book is more or less free-standing (there's one sequel) so it is a dynamite way to get involved with Westlake's work. He is a master of the funny detective/murder novel, and this book is just a delight. The number of zingers he can work off on the despicable tabloid industry is a pleasure to behold, and if you do not laugh out loud at the Australian invasion of the midwestern nursing home, you are lost to humanity. Westlake expertly manages the development of plot and character so that everything whips up to a thrilling yet perfectly logical climax.