Avant toute chose, il faut que je vous dise, j’adore Davy et je déteste Ben. Ça, c’est dit. Maintenant je peux commencer ma chronique en tant que telle.Le Chemin de l’acceptation donc, c’est le parcours de Kurt, policier un peu mal dans sa peau, un peu considéré comme un bébé par ses parents et sa fratrie. Il pensait avoir une relation vraie avec son partenaire, basée sur la confiance et l’estime et découvre que non, Ben ne lui faisait pas confiance, Ben le considérait comme un étranger.La preuve ? Il lui a caché non seulement son homosexualité mais aussi sa relation avec Davy.Sauf que ça va plus loin que ça. Ben n’était pas simplement dans son placard, Ben était un pervers narcissique, le genre de gars qui choisit un ou une compagne moins fort psychologiquement et qui le coupe de ses amis, sa famille, ses collègues, pour le laisser totalement dépendant et vulnérable. Le genre de gars qui prend un gentil garçon comme Davy et le fait vivre loin dans un placard, seul, coupé de tout ce qui faisait sa vie avant la rencontre et qui le laisse perdu, seul et quasi incapable de prendre soin de lui-même à son départ. C’est de la violence psychologique de base, la relation type que Brigitte vous dirait de fuir dès que possible.Kurt rencontre donc Davy et, à dire vrai, cette relation est salutaire pour les deux.Parce que Kurt a besoin de s’occuper de quelqu’un. A force d’être infantilisé par sa famille, il a n’a jamais eu l’occasion d’être « en charge », d’être responsable et surtout de se sentir vraiment utile. Il a besoin de Davy car il le fait se sentir fort et capable, que c’est bon pour son estime de lui-même et son évolution.Mais Davy aussi a besoin de Kurt. D’abord pour reprendre pied et ensuite pour s’affirmer. Repousser Kurt, le mettre devant ses responsabilité en l’obligeant à prendre une décision, c’est faire ce qu’il n’a jamais fait face à Ben : prendre les choses en mains, exprimer clairement qui il est et comment il souhaite vivre désormais.Bien sûr, sur le coup, c’était un poil injuste envers Kurt qui n’a rien à voir avec Ben, mais c’était nécessaire pour qu’ils puissent vivre une relation équilibrée.Bon, je n’ai pas besoin de vous faire un dessin pour vous faire comprendre que j’adore ce livre hein ? J’aime non seulement l’histoire, qui est passionnante, que les personnages. J’aime l’auteur qui aime se poser des questions et donc me faire m’en poser. J’aime le fait qu’elle s’attaque au syndrome de stress post traumatique (le tome 2) ou à une perversion narcissique comme elle le fait là. Ses personnages sont réellement écrits, avec soin, avec une vraie psychologie. Elle ne se contente pas de raconter une histoire, elle me la fait vivre et ça, c’est précieux ! LOVED IT. LOVED IT. LOVED IT. I loved every second of this story, every character, every turn and twistIt was great, it was sweet, it had character growth. Have I told you I loved it yet?Sometimes you're in the mood for some light, drama-free reading, and this was great for that.I mean, it had some drama but it wasn't over the top or anything.It was basically about Kurt, a cop in his thirties who becomes friends with Davey, his partner's widower, and how he finds out some truths about himself while realizing that this 'friend' means more to him that what he initialy tought. I really liked the pace in wich Kurt's feelings for Davey developed. It wasn't insta-love or even a first-sight attraction. His feelings grew alongside with their friendship and it felt natural.Oh, and let me add, while there aren't so many sex scenes, they sure are HOT. Miss Burn went with quality over quantity and I applaude her decision. Overall, a beautiful story and a truly must read in the amazing m/m genre.
What do You think about Dentro O Fuori (2012)?
I like very much Davy! A kind character!And I love the O'Donnell family!
—Amandaj56
Super cute, would love to read from Davy's point of view.
—f6f6
Really like this author and this is a an awesome story.
—Tessa