Soft pour un livre de Houellebecq, si on fait abstraction des passages - souvent à caractère sexuel - qui se veulent spirituels et qui sont plutôt navrants. Pas un style incroyable, alors se lit vite. Je n'ai pas aimé la façon de l'auteur de se mettre en scène lui-même, qui traduit beaucoup trop un amour propre excessif, même si le personnage est fictif et détestable, dont on n'a rien à faire en tant que lecteur. Les expressions et images en italiques sont relativement énervantes, on est capable de comprendre qu'il s'agit d'une expression imagée sans avoir besoin d'un panneau pour nous prévenir. La dernière partie vire en roman policier et sauve le livre, dont le début est moyennement convaincant à mon avis. Une critique intéressante de la société fait surface de temps en temps, signature de Houellebecq paraît-il. Ne laisse pas un souvenir impérissable néanmoins. Definitely a lot more tame than some of Houellebecq's other novels! The attack here is less based on the sexualisation of society but on consumerism, tourism and the art world. Houellebecq portrays life as most novels don't - there is no happy ending, although also not a sad one. This ending just seems to tell us what we perhaps should already know - the lifes we are living, in a material sense, will inevitably come to an end. Nature however will not.
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Dark, very introspective. It could have come out of the 1940s French-existential movement.
—jas
muy buena trama. Me gustó el giro inesperado y la ausencia de la obviedad.
—beckstersarai
Although it was a good story it was a bit too slow going for me.
—theoneforher414
Satirical, sarcastic, and provocative beyond belief.
—Kayla44
